L’histoire montre que de très nombreux batteurs de jazz ou de rock sont morts très jeunes.
Une nouvelle hypothèse scientifique apporte un élément de réponse. Avant l’ère des peaux en plastique, les drums, mais aussi et surtout les percussions comme les bongos ou congas, était faits en peau d’animal, notamment de chèvre, vache, buffle et autres herbivores. Or, on vient de découvrir que ces peaux naturelles, si elles ne sont pas traitées convenablement, contiennent souvent des germes d’anthrax, une maladie redoutable.
Une recherche historique montre que les plus touchés sont ceux qui fabriquent ces peaux. En second, on trouve les batteurs et percussionnistes qui, en les frappant, libèrent ces germes et les inhalent.
A l’heure actuelle, avec la mode des percussions exotiques, la tendance est en hausse et plusieurs cas mortels se sont déclarés depuis un an au Royaume-Uni et à New York.
Source : NOVA PLANET